On ne retiendra que l’intemporalité de l’intrigue et, en dépit de la noirceur du dénouement et la fugitive union des amants de Vérone, on ressort de ce spectacle plutôt ému par la puissance des sentiments des jeunes époux que bouleversé par la lutte sans merci et sans cohérence à laquelle se livrent les clans rivaux des Capulet et des Montaigu…
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